On pourrait lui donner une aura internationale en créant un centre d’études et de recherches sur le terrorisme, le statut de victimes. Ça n’existe nulle part, et ça aurait du sens de le faire à Nice», dit-elle. Pour l’heure, ni le lieu d’implantation, ni la taille et encore moins un calendrier ne sont déterminés mais les deux porteuses du projet souhaitent «aller vite. On nous a promis des échanges avec les services de la ville pour établir un cahier des charges».